Tu es un photographe passionné, affiches ta personnalité sur un tee-shirt de qualité ! Découvre vite la collection GCcosmos, tu trouveras des designs à s’arracher qui ont pour thème la photo et bien plus. Pour nous les photographes !
Vous êtes-vous déjà demandé si vous pouviez réaliser vos retouches photo sans passer par les logiciels traditionnels ?
Bienvenue sur mon blog photo et cosmos, l’originalité de ce blog est de proposer des solutions de gestion photo en open source, à ma connaissance, il n’existe pratiquement pas de site qui parle de photo open source ou que partiellement.
L’open source c'est quoi en dehors de la gratuité des logiciels ? Définition générale : « Un logiciel open source est un logiciel publié sous une licence dans laquelle le détenteur du droit d'auteur accorde aux utilisateurs le droit d'utiliser, d'étudier, de modifier et de distribuer le logiciel et son code source à toute personne et à toutes fins ».
Néanmoins, l’utilisation de l’open source dans le domaine de la photo est particulière du fait qu’il s’agit de création artistique, il est bon d’étendre la définition.
Choisi l’open source est une forme de dissidence photographique, soyons direct, ne pas adopter la religion adobe avec Lichtrom, même si je lui reconnais de grandes qualités. Adopté le full open source pour ces qualités particulières en
plus du gratuit, c’est la pérennité, la stabilité, des tutoriels d’aides et cerise sur le gâteau, pas d’abonnement à vie contraignant, pas de cloud, pas de modifications techniques à but commercial tous azimuts. En fait, la résultante dans cette démarche open source est la même que sur le terrain, libérer du temps cognitif et investir dans des connaissances acquises pour du long terme, l’open source évolue lentement mais sûrement. Sachant que l’on parle de pérennité, il est essentiel de ne pas se planter dans le choix des logiciels open source, surtout si vous avez la volonté de travailler comme un "pro". La finalité de ce blog est de mettre en avant le meilleur de l’open source, si l’open source ne propose pas de solution fiable pour une problématique donnée alors la logithèque est complétée par du freeward, solution gratuite également. En résumé, l'open source, c'est bien plus que la gratuité. C'est la liberté de créer, de modifier et de partager.
À présent les critiques :
1) Quel est le logiciel central concernant le workflow en photo open source ?
En photo professionnelle, artistique, esthétique, il existe beaucoup d’adjectifs, parfois, ils sont même polémiques, peu importe, ici ça regroupe toutes les personnes désireuses de progresser, devenir meilleur. Dans ce cas, vous n’avez pas d’autre possibilité de passer par la case post-traitement, le logiciel ART ou Darktable en post-traitement sont l’épicentre du workflow, téléchargeable à partir du bouton menu [Logiciels].
2) je suis un pro débutant en photo paysage, artistique, peut-on traiter de A à Z la chaîne de travail (workflow) ?
Oui, de retour au bureau, la première étape consiste à trier les photos, suppressions des doublons, photos floues, ou photos sans intérêts, DIGIKAM et le numéro deux du workflow avec sa visionneuse et sa poubelle virtuelle, il fait ça très bien. Pour ceux qui ont besoin de tatouer leurs photos ou de les classer sous forme de base de données, Digikam se distingue par sa puissance à gérer des SGBD avec son moteur SQLite. Pour les autres étapes de travail sur le terrain ou à la maison d’autres logiciels ou utilitaires sont disponibles, ils sont téléchargeables à partir du bouton menu [Logiciels].
3) Les photos que je prends sur le terrain ont pour finalité de créer des montages artistiques (calques), quelle solution pointue d’utilisation est disponible en open source ?
C’est Gimp le troisième mastodonte du workflow présent dans la liste des logiciels photo qui va réaliser ce travail de création artistique. Gimp ne comporte pas de limites à la création en dehors de l’imagination du concepteur artiste, téléchargeable à partir du bouton menu [Logiciels].
4) C’est peut-être super l’open source, néanmoins, je préfère payer un abonnement et rester chez Adobe, c’est plus simple !
C’est louable, néanmoins, plus haut j’utilise le terme "religion" bien sur il n’est pas question ici de Dieu, mais de communauté, une religion qui consiste à couper le cordon ombilical avec les oppresseurs de la surproduction de logiciels sous abonnement en photographie. Le risque de cette industrie étant la normalisation, l’automatisation, le lissage, en fait une taylorisation qui me semble jouer comme une antinomie à la création ou l’art en général, c’est encore plus vérifiable aujourd’hui avec l’émergence de l’IA et c’est identifiable dans les photos ou les tendances deviennent des normes, lissage. C’est aussi se poser l’éternelle question de l’humain au centre du monde face à l’indépassable productiviste comme bulldozer destructeur de l’imagination, la création, c’est à chacun de se poser la question.
5) Je suis photographe de mariage et je prends 3000 photos par séance, la production est au centre de mon workflow, l’open source est-il adapté ?
Clairement non, un abonnement Adobe avec tous ces outils d’automatisation répondra parfaitement à ce type d’attente. En principe le photographe qui fait partie de la communauté que je décris n’est pas un productiviste de photos, suite à un shoot photo le plus souvent moins de dix photos, réfléchir ça prend du temps, si une photo, une seule comporte un fort potentiel, le genre de photo destinée à être affichée dans une expo ou faire partie d’un livre photo, alors, c’est que du bonheur. C’est la photo qui sera retouchée avec précision, peut être pendant plusieurs heures avec des outils chirurgicaux comme le permet l’open source. C’est le projet, l’attente, la non-production de l’artisan photographe, accoucher d’une photo qui caresse l’âme de la personne qui contemple la photo.
6) J’ai lu à plusieurs reprises, par exemple pour Gimp, qu’il est difficile d’apprentissage ?
Même si c’est de moins en moins vrai du faîte de son évolution avec une utilisation toujours plus conviviale, oui, l’open source demande de l’investissement de travail. Il est important de prendre en compte que ce réservoir de travail est une ressource pour l’avenir, une fois que je connais à fond l’utilisation du logiciel, c’est pour toujours avec le fait, qui n’est pas négligeable, on le maîtrise à fond. À l’inverse, si l'on fait le bilan du payant entre les sociétés qui disparaissent du fait d’une concurrence acharnée, qui a conséquence pour l’utilisateur de recommencer son apprentissage depuis la case départ. Mais surtout, c’est l’aliénance cognitive la plus dégradante, je veux dire cette perte de temps dans les mises à jour à répétitions, les bugs, tester les nouvelles fonctionnalités, la demande d’ordinateurs de plus en plus performants en ressource, ce mettre en conformité avec le workflow imposé par l’éditeur du logiciel. Il est nettement plus profitable de réserver ces espaces de temps en créativité.
7) C’est cool, tout est gratuit !
Effectivement, il est plus facile de ce fait de se concentrer sur l’achat de matériels même si ce n'est pas le facteur déterminant ou des formations ou l’achat de livres photo. Je ne prends pas à la lettre la maxime qui consiste à dire que le matériel ne fera pas de vous un meilleur photographe, d’ailleurs si vous acheter une prestation photo genre mariage à mille euros et que le photographe débarque avec un Instamatic et vous dit ce genre de maxime, "le matériel ne fait pas le photographe", ça ne va pas le faire financièrement. Concernant les formations, il est regrettable que les prestataires ne proposent pas des formations sur un workflom construit à partir de l’open source ou il existe une opportunité. En attendant, vous trouverez sur le blog des tutoriels gratuits en photo et un peu en vidéo.
En conclusion, le plus difficile dans une méthode photo c’est de ne pas être influencés par les conventions et les attentes sociales, en fait voir le monde d'une manière innocente et libre. C'est une invitation à explorer de nouvelles voies créatives, à se libérer des contraintes des logiciels commerciaux et à redéfinir notre rapport à l'image. En choisissant l'open source, vous vous donnez les moyens de développer une pratique photographique unique, à l'image de votre sensibilité artistique. N'hésitez pas à expérimenter, à vous tromper, et à laisser libre cours à votre imagination. Car, comme le disait Robert Doisneau : "Photographier, c'est mettre au point sur l'invisible." Tous les programmes de gestion de photos sont en libre téléchargement gratuit depuis le menu [Logiciels].
C’est à toi seul de décider quel photographe tu as envie de construire, c’est à toi d’oublier les règles, de libérer ton monstre intérieur. La photographie, c'est une rébellion silencieuse, l'open source, une arme de choix pour les photographes qui souhaitent avoir plus de contrôle sur leur processus créatif.
Webmaster Gérard Copin
Vous êtes passionné par la photo, parfois vous levez les yeux au ciel par une séduisante nuit d'été pour méditer le ciel étoilé, alors vous serez peut-être intéressé par mon livre photo "Indigo et Cosmos" qui a pour contenu un projet photo entrelacé avec la photo en astronomie. Le livre édité est en vente sur Amazon en format numérique kindle ou sur le site de l'imprimeur en format papier.
Amazon en format numérique Coolibri en format papier
Cette photo de la Nasa est incroyable ! C'est un coucher de soleil sur la planète Mars, soit la porte à côté. Néanmoins, quand on voit le soleil aussi petit à cette distance, lui qui est 100 fois plus gros que la terre, cela nous laisse rêveurs.
Bande Annonce
Accroche-toi, prends un thé et un carré de chocolat, assois-toi confortablement dans un fauteuil et appuie sur play !
Ce soir, tu te coucheras diffèrent en apprenant dans cette vidéo les concepts de la cinquième dimension d'espace, pourquoi vous êtes immortels ou encore pourquoi vous n'avez pas de libre arbitre.
Même si la pilule rouge est difficile à avaler et si l'on parle ici de hard science fiction, ces théories ne sont pas des jactances ou fanfaronnades, mais des concepts qui reposent sur les piliers de la science moderne, je veux dire la relativité générale Einstein et la mécanique quantique.
Concernant le déroulement de la vidéo, le fil conducteur utilise Cooper, le héros du film Interstellar que l'on va triturer et pulvériser dans la cinquième dimension.
Donc on s'attaque à un gros morceau, pour ceux qui ont vu le film, ils comprendront qu'il s'agit de la partie du film qui pose problème, qui questionne et qui est difficilement intelligible.
Un homme et une femme
Un beau jour de printemps à Paris. Dans un café, un homme savoure une bière tout en lisant son journal. A la table d'à côté, une femme boit son café tout en regardant déambuler les piétons. Ils ne se sont pas vus. Tout à coup, homme tourne la tête et son regard croise celui de la femme. Se déclenche alors une série d’événements. La lumière dorée du Soleil réfléchie par le corps svelte de la femme pénétré dans les yeux de l'homme. Voyageant à la vitesse de 300 000 km à la seconde, 10000 milliards de particules de lumière (appelées photons) s’engouffrent chaque seconde dans chacune de ses pupilles, traversant d’abord un corps ovale appelé cristallin, puis une substance transparente et gélatineuse, avant d’aboutir sur la rétine.
Dans la rétine, 5 millions de cellules en forme de cônes et 100 millions d’autres en forme de bâtonnets entrent en action. Les cônes sont sensibles aux fortes intensités lumineuses et sont responsables de la vision en couleurs le jour, tandis que les bâtonnets ne fonctionnent qu'aux faibles intensités lumineuses et sont responsables de la vision monochrome la nuit. Certaines cellules reçoivent une grande quantité de lumière, celle qui provient des zones brillantes du corps de la femme, comme ses lèvres moites soulignées par un brillant rouge a lèvres. D'autres reçoivent moins de lumière, celle qui provient de zones plus ombragées du corps de la femme, telles ses joues légèrement fardées. Chaque cône et chaque bâtonnet contient des pigments. Chaque molécule de pigment est à son tour composée de 20 atomes de carbone, ces 28 atomes d’hydrogène et d’une molécule d’oxygène. Ces molécules enregistrent la lumière en effectuant une sorte de ballet étrange. Au repos, quand elle n'est pas actives par la lumière, la molécule de pigment est rattachée à une protéine et est toute recroquevillée. Mais, quand une particule de lumière la frappe (la lumière réfléchie par la femme frappe 30 millions de milliards de molécules dans l’œil de l’homme a chaque seconde), cette molécule se sépare de la protéine et se redresse. Un certain temps passe, et elle se recroqueville de nouveau en attendant l’arrivée de la particule de lumière suivante. Les neurones entrent en action.
Tous ces éventements ont pris moins d’un millième de seconde depuis que le regard de l’homme s’est posé sur la femme. Pourtant, l'homme n’est toujours pas « conscient » de la présence de la femme, puisque l’information contenue dans les particules de Lumière n’est pas encore parvenue a son cerveau. La danse des molécules dans la rétine va mettre en branle des neurones d'abord dans les yeux, puis dans le cerveau.
Extrait du livre « Le Chaos et l’harmonie » de l’auteur Trinh Xuan Tuan.
1968, les astronautes d’Apollo 8 filmaient le premier "lever de Terre" depuis l’horizon lunaire. Un an plus tard Neil Alden Armstrong est le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune, le 21 juillet 1969, il prononça la phrase restée fameuse : « C'est un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l'humanité ». Pour la première fois, c'est une prise de conscience d’être sur une planète fragile et microscopique comparée à l'immensité de l'Univers.
Une si belle histoire
On s'est aperçu en effet que l'Univers a été réglé comme une horloge pour que les étoiles naissent, fassent leur alchimie nucléaire et permettent la vie et la conscience. Toutes ses propriétés sont déterminées de façon extrêmement précise par une quinzaine de nombres qu'on appelle les « constantes physiques ». On en a mesuré exactement la valeur, mais on n’a aucune théorie pour expliquer pourquoi elles ont cette valeur plutôt qu’une autre. Ces constantes sont : la vitesse de la lumière, la constante de Planck qui détermine la taille des atomes, la constante de gravité qui détermine l'intensité de la force de gravité, la masse et charge des particules élémentaires... Si l'Univers ne contenait que l'hydrogène et l'hélium formés dans les trois premières minutes de l’Univers, nous ne serions pas là pour en parler. Et cela, parce que l’hydrogène, dont le noyau est composé d'un seul proton, est trop simple, et l'hélium trop stable pour pouvoir donner naissance à des structures complexes. Il n'y aurait pas eu la complexité nécessaire pour créer l'ADN de la vie ou les neurones qui constituent la base de notre pensée. L'Univers serait vide et stérile. Aucune vie ni conscience ne seraient possibles. Pour que celles-ci puissent apparaître, les éléments lourds fabriqués par les étoiles étaient absolument indispensables. Nous sommes donc tous des poussières d'étoiles. Nous partageons tous la même généalogie cosmique. Nous sommes les frères des bêtes sauvages et les cousins des coquelicots des champs.
Trinh Xuan Thuan
L'existence de l'Univers n'a de sens que s'il contient une conscience capable d'apprécier son organisation, sa beauté et son harmonie. Il était inévitable que la conscience qui a émergé de l'ordre cosmique exalte cet ordre en le comprenant. La capacité de notre cerveau à comprendre les lois naturelles n'est pas un simple accident de parcours, mais un reflet de l'intime connexion cosmique entre l'homme et le monde.
Bonjour et bienvenue sur mon blog dédié principalement à l'astronomie, cosmologie et photo. Membre d'une association d'astronomie, je suis amené à réaliser des conférences ou autres activités scientifiques de vulgarisation au sein de ma région Belfort Franche-Comté, dans un monde tourné de plus en plus vers le numérique, il est légitime de prolonger mon action sur le web. Néanmoins, le but n'est pas d'ajouter des liens à des liens ou de faire de la quantité sur des informations redondantes et facilement localisables à l'aide des moteurs de recherche. De ce fait, vous trouverez uniquement des sujets que j'ai traités pour leur originalité. Je précise également que mes conférences ne s'adressent pas à des spécialistes en astrophysique, mais à des néophytes passionnés de science. Vous pouvez me laisser vos commentaires via le formulaire, je vous souhaite une bonne visite. (GC)
Gérard Copin
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